Dans une décision du 3 septembre concernant l’affaire dite « Justice pour le vivant », les magistrats estiment que l’État « a commis une faute » du fait d’une mauvaise évaluation des pesticides, et pointent sa « responsabilité » dans le « préjudice écologique » causé par l’utilisation de ces substances chimiques. Ils ordonnent aux pouvoirs publics de réaliser de nouvelles évaluations dans un délai de deux ans. Cliquez ici pour lire la suite sur le site de Que Choisir.org
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12 septembre 2025 | Catégorie: Santé / bien être